« En matière de commerce international, la théorie néoclassique utilise l'expression dans le sens de courbes d'indifférences collectives et courbes ou droites de production possibles pour un pays afin de montrer que sa position peut, grâce au libre-échange, se situer au-dessus de ses possibilités antérieures de production et lui permettre de consommer bien davantage que dans une position protectionniste. »
(Lakehal, M., Dictionnaire d'économie contemporaine, 2e édition, Paris, Éditions Vuibert, 2001, p. 182)